et toi, comment tu te débrouilles ?

Douces réflexions sur le genre et les relations familiales
Ce petit bijou est à décou­vrir en famille. Véritable machine à jouer, composée de six personnages pour deux interprètes, cette pièce nous plonge dans le quotidien d’une famille, entre péripéties, maladresses et grands bonheurs.

Nous y suivons Charly, un enfant qui se pose mille questions. Pourquoi dit-on « c’est le masculin qui l’em­porte. » ? Qu’est-ce que ça veut dire « s’émanciper » ?

Où vont les gens quand ils sont morts ? À ses côtés, sa grand-mère, Mamé, figure du féminisme, n’a qu’une idée en tête : finir ses jours auprès des siens. Entre eux deux, il y a tout un monde.

Et à travers leurs préoccu­pations, le mot « grandir » prend tout son sens.
Le public prend place dans ce cocon familial, instal­lé autour du plateau. Ici, tout est géométrique et coloré, les habits, les assises, les valises. Les adultes paraissent en plastique, tout droit sortis des illus­trations pop art de Roy Lichtenstein. Ils sont drôles, ne se dérobent jamais devant les remarques justes du petit Charly. Avec humour et tendresse, ils abordent les questions d’altérité et d’égalité femme-homme, et portent haut l’amour intergénérationnel.

Le public prend place dans ce cocon familial, instal­lé autour du plateau. Ici, tout est géométrique et coloré, les habits, les assises, les valises. Les adultes paraissent en plastique, tout droit sortis des illus­trations pop art de Roy Lichtenstein. Ils sont drôles, ne se dérobent jamais devant les remarques justes du petit Charly. Avec humour et tendresse, ils abordent les questions d’altérité et d’égalité femme-homme, et portent haut l’amour intergénérationnel.