zoé [et maintenant les vivants]
Théo Askolovitch
1h20 • dès 12 ans
catégorie 2 → de 8 € à 21 €
texte et mise en scène Théo Askolovitch
assistant à la mise en scène Flavien Beaudron
stagiaire à la mise en scène Mathilde Ngasi
collaboration artistique Marilou Aussiloux
avec Théo Askolovitch, Marilou Aussilloux, Serge Avédikian,
créateur son Samuel Chabert
créateur lumières Nicolas Bordes
création vidéo Jules Bonnel et Robinson Guillermet
costumes Juliette Chambaud
Un récit drôle et réconfortant sur l’infiniment intime
Dix ans après la perte d’un être cher, un père, une fille et un fils nous racontent avec délicatesse les étapes de leur reconstruction. Dans leur histoire, présentée façon puzzle, chacun se remémore le drame : l’annonce, l’enterrement, les rites religieux, la vie d’après… Avec justesse, et sans pathos, ils se livrent. Et, peu à peu, au fil de leurs témoignages se dessine le portrait intime d’une famille qui résonne en chacun de nous.
Révélé par son premier spectacle 66 jours, monologue sur le combat d’un jeune homme face au cancer, Théo Askolovitch poursuit son travail sur le thème de la réparation. Dans cette pièce, le comédien et metteur en scène utilise ici tous les ressorts du théâtre pour rendre un hommage pétri d’amour et d’humour à sa mère disparue.
Zoé [et maintenant les vivants], sa deuxième pièce, frappe par l’authenticité de ses dialogues. Il y aborde le sujet du
deuil, de la relation que l’on entretient avec les morts, et avec ceux qui restent. Accompagné, sur scène, des artistes Marilou Aussilloux et Serge Avédikian, il décrit la vie telle qu’il la connaît, dans un style bien à lui : avec beaucoup d’humour et de sagacité.
Production déléguée : Prémisses – Office de production artistique et solidaire pour la jeune création.
Production : Compagnie Saiyan.
Coproduction : Théâtre Ouvert – centre national des Dramaturgies contemporaines. Soutien : Comédie de Caen – CDN de Normandie ; Région Île-de-France dans le cadre de l’ÉPAT ; Fond SACD Théâtre ; Théâtre Odéon – Théâtre de l’Europe ; Théâtre de Suresnes Jean Vilar. Le texte est édité aux éditions Esse que. Photo © Christophe Raynaud de Lage

Et aussi :
dimanche 16 nov. 18h
Théâtre Se tenir debout
À la manière de Théo Askolovitch, des personnes d’horizons divers prennent la plume et disent, clament ou chuchotent leur réparation. Qu’elles aient traversé de grandes épreuves ou de petits accidents de la vie, elles racontent comment elles ont fait pour se relever et se tenir débout.
Restitution d’un atelier mené par Théo Askolovitch et Marilou Aussiloux.
[gratuit sur réservation]